« Vénitienne au cœur d’Andalouse
Fines dentelles qu’on te jalouse
Toute de noir, de blanc, de rouge
C’est ton pas flamenco qui bouge...
Beauté de ces temps éphémères
Sous ton voile teinté de mystères
Ombrelle, éventail et mantille
ne dévoilent que tes yeux qui brillent.... »